Alain Arvin-Bérod, philosophe, membre de l'Académie Nationale Olympique Française, est étudiant à Grenoble lors des Jeux de 1968. Dans "Les Neiges de Grenoble", l'auteur, voyageur impénitent au pays du sport, propose une lecture originale de l'olympisme. Son voyage prend la forme d'un survol inédit de l'histoire des Jeux d'hiver. Le point d'orgue se situe aux Xe J.O. d'hiver de Grenoble placés à mi-chemin entre les premiers (Chamonix 1924) et tes derniers (XXe J.O., Turin 2006). Ainsi le Dauphiné, terreau d'élection des idées émancipatrices du XVIIIe et terre natale du père de la devise olympique au XIXe, accueille une aventure humaine hors norme. En effet en 1968 une équipe grenobloise ouvre une nouvelle "voie" de l'olympisme vers les sommets du ski alpin français, points culminants du zénith mondial. La rencontre entre le sport et la culture, marque de fabrique des Jeux de Grenoble, ajoute une émotion artistique à la découverte historique. Le livre refermé, la flamme de Grenoble habite le lecteur.(Résumé éditeur)